Élections Fédérales Canada 2025: notre Responsabilité

La politique devrait être un exercice d’analyse et de vision, pas une simple opposition de peurs et de réactions. Et pourtant, c’est ce qu’on observe en cette camapagne électorale canadienne de 2025.

En tant qu’entrepreneur et gens d’affaires, quel est notre responsabilité au-delà d’aller voter le 28 avril?

[INTRODUCTION]

Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans cet épisode de [nom de votre podcast]. Aujourd’hui, on va parler d’un sujet qui nous concerne tous en tant que citoyens et citoyennes : la campagne électorale canadienne.

Si, en lisant le titre ou en voyant l’image de cet épisode, vous vous êtes dit : “Mais on est sur LinkedIn, pas sur Fakebook !”, alors notre conversation risque de commencer sur une fausse note. Parce que je crois qu’on est bien plus que de simples “professionnels”. On est aussi des parents, des ami.e.s, des citoyens avec des responsabilités. Avant même d’être ce qu’on veut bien afficher sur nos profils, nous sommes avant tout des êtres humains qui vivent ensemble dans un environnement commun. Et c’est de cela dont il est question aujourd’hui.

[CHAPITRE 1 : UNE CAMPAGNE ÉLECTORALE TERNE]

Soyons honnêtes, cette campagne électorale est d’une fadeur incroyable. Il n’y a ni d’enjeux de société profonds, ni de projets inspirants pour notre avenir commun. À gauche comme à droite, c’est le vide intersidéral.

L’automne dernier, jusqu’en janvier, on semblait quand même parler d’enjeux de société, d’économie et d’avenir. Mais depuis l’élection chez nos voisins du Sud et les demandes d’ajustement de l’USMCA, la campagne a basculé dans l’émotion pure et l’idéologie binaire. Ce n’est plus un débat d’idées, c’est une réaction viscérale aux attitudes des leaders politiques.

[CHAPITRE 2 : UNE POLITIQUE VIDÉE DE SON SENS]

La politique devrait être un exercice d’analyse et de vision, pas une simple opposition de peurs et de réactions. Et pourtant, c’est ce qu’on observe. La gauche s’appuie sur la peur et le rejet de “M. Orange”, pendant que la droite, fidèle à elle-même, réagit au quart de tour et tombe dans le piège de la polarisation.

Objectivement, si on regarde les propositions concrètes, les conservateurs semblent avoir plus de solutions à offrir que les libéraux, notamment sur les enjeux domestiques et internationaux. Mais est-ce suffisant ?

[CHAPITRE 3 : VOTER BLANC ?]

Pour la première fois, je me demande si je ne vais pas voter blanc. Et je ne suis pas seul. En parlant avec des collègues, des ami.e.s, de la famille, je me rends compte que beaucoup partagent ce sentiment.

Mais attention ! Je ne suis pas en train de militer pour le vote blanc. Ce que je propose ici, c’est une réflexion sur notre expérience citoyenne. Peut-on faire mieux que de simplement “choisir le moins pire” tous les quatre ans ? Peut-on imaginer une démocratie plus participative, plus agile, plus engageante ?

[CHAPITRE 4 : REPRENDRE NOS RESPONSABILITÉS]

Un élu ne peut pas tout faire seul. Comment des gestionnaires qui se basent sur des dossiers résumés par des assistants peuvent-ils prendre des décisions justes et informées ? Sur quelle base réaliste fondent-ils leurs choix ?

On a trop délégué nos pouvoirs par facilité et manque de conscience collective. Et après, on reproche à la politique son manque d’imagination et de courage. Mais c’est à nous de changer cela. On a le gouvernement qu’on mérite.

On ne peut pas baser notre société uniquement sur l’accumulation de profits. Une société viable, c’est une société qui prend conscience de la collectivité, de ses droits et de ses devoirs.


[CHAPITRE 5 : UNE RÉFLEXION POUR VOUS] – COEUR


L’individualisme conduit directement à l’isolement, au sectarisme, autrement dit : à la misère humaine.

Vous êtes conscient.e ? RÉFLÉCHISSEZ, je nous pose les questions suivantes :

  • Quel motivation vous agite à ce point ?
  • De quoi avez vous vraiment envie ?
  • Quels moyens vous donnez vous réellement pour y accéder ?
  • De quoi avez vous vraiment besoin ?
  • Qu’avez vous comblez de ces besoins et envies ?
  • Comment réagissez-vous devant cette frustration ?
  • À quoi croyez-vous réussir ?
  • Comment assumez-vous l’échec ?
  • À quoi croyez-vous ? À qui croyez vous ?
  • À quoi pensez-vous ? À qui pensez-vous ?
  • Quel bonheur est censé vous apporter la soif du profit et de son accumulation ?
  • Quels biens vous font du bien ?
  • Qu’allez-vous manger une fois qu’il ne vous restera plus que de l’argent et du matériel transformé ?
  • Pourquoi allez-vous voter ?
  • Pour qui voulez vous voter ?
  • Pourquoi ce choix ?
  • Avez-vous vraiment le choix ?
  • Croyez-vous en la démocratie au Canada ?
  • Est-ce que notre civilisation a vraiment progressé ?
  • Avez-vous déjà falsifié une histoire ?
  • Pensez-vous que l’histoire de l’humanité est constamment falsifiée ?


[CHAPITRE 6 : VOTER, C’EST TOUS LES JOURS]

On vote tous les quatre ans, mais en vérité, on vote tous les jours. Nos actions, nos choix, nos refus, tout cela façonne le monde dans lequel on vit. Ce sont les petites gouttes d’eau qui font les torrents, les rivières, puis les mers.

Alors, notre goutte compte-t-elle ?

[CONCLUSION]

Merci d’avoir écouté cet épisode. Si cette réflexion vous parle, partagez-la, commentez-la, discutez-en autour de vous. Parce que si on veut que ça change, il va falloir qu’on s’y mette ensemble.

Sur ce, je vous dis à très bientôt pour un prochain épisode !

Un Café avec Frédéric™ Podcast Libre et décentralisé. ©2023-2025

 

Écoute et Abonnes-toi!

 

Subscribe via Apple Podcasts
Subscribe via Spotify
Subscribe via Deezer
Subscribe via RSS
Subscribe via email

 

 

 


Discover more from Agile Lounge

Subscribe to get the latest posts sent to your email.

Share:

Recent Posts

Send us your comment

Ask Us for a Custom Workshop

Subscribe our Value List